Photos : Rencontres du dodécaèdre dans la science, l'art et l'histoire
Le dodécaèdre est un polyèdre régulier composé de 12 faces, 30 arêtes et 20 sommets.
C'est l'un des "5 solides de Platon" qui a été très largement étudié au cours de l'histoire par Aristote, Léonard de Vinci ... comme un symbole de la perfection.
Platon a associé le dodécaèdre au "Tout", car ce solide représentait à lui seul toutes les formes (tétraèdre, hexaèdre, octaèdre, icosaèdre). Partant de ce postulat Aristote appela le dodécaèdre "Ether" car ce cinquième élément représentait à lui seul toutes les formes l'univers, donc celle de la perfection absolue.
Elle améliore la perception en faisant prendre conscience ce qui apporte la clarté de l'esprit.
Le dodécaèdre convient aux personnes qui désirent une harmonisation totale ou effectuant un travail de méditation et de relaxation.
Placé dans une maison, il favorise une ambiance harmonieuse et protectrice.
La géométrie sacrée est le langage universel de la création. Elle est la structure énergétique générant et manifestant la matière. Construit sur le nombre d’or (divine proportion), le dodécaèdre est une des formes les plus riches d’enseignements mathématiques, cosmogoniques et métaphysiques. Il est un symbole cosmique relié à l’élément de l’énergie universelle appelé aussi éther. Cette forme géométrique parfaite émet des vibrations, qui par résonance rectifient les structures moléculaires et énergétiques.
un outil particulièrement adapté à toute forme d'action visant à dynamiser votre évolution spirituelle." Il donnerai de l'ampleur à toutes nos actions méditatives, décisionnels et évolutionnels.
1. Contribue à une meilleure méditation.
2. Équilibre les chakras.
3. Aide à surmonter et vaincre le stress.
4. Harmonise les rapports entre les individus et crée une atmosphère cordiale et propice aux échanges et à la communication.
5. Apporte une grande énergie en soi pour mieux nous connecter avec notre âme.
6. Équilibre les énergies et harmonise l’ambiance d’une pièce.
7. Augmenter notre pouvoir de divination.
8. Favorise une meilleure intuition.
9. Entre en contact plus facilement avec vos anges gardiens ou nos esprits guides.
10. neutralise une partie des effets négatifs des pollutions électromagnétiques
11.aide à harmoniser les ondes électromagnétiques et les ondes subtiles
Le dodécaèdre est formé selon le principe solide de Platon, il est doté de douze faces en forme d’étoiles qui rappellent les douze signes astrologiques et les douze mois de l’année. La forme pentagonale, quant à elle, est celle dans laquelle s’inscrit l’étoile de l’homme de Léonard de Vinci, la représentation la plus simple de la vie.
Voici un extrait tiré du livre « Les fabuleux pouvoirs du Dodécaèdre » édition Trajectoire: «Le Dodécaèdre demeure le plus puissant émetteur d’ondes de forme qui n’ait jamais vu le jour …autrefois évoqué par Platon comme une clé initiatique majeure. Il fut utilisé par l’immense Léonard De Vinci, qui le jugea si digne d’intérêt qu’il créa un dodécaèdre ouvert dont le modèle est parvenu jusqu’à nous. Le Dodécaèdre est un décontaminateur qui, de plus, se recharge lui-même. Émetteur, il fait des merveilles dans le domaine des arts magiques où il permet, sans faire appel à d’autres forces que vos propres énergies qu’il multiplie à l’infini, d’obtenir des résultats que vous n’auriez pu espérer dans vos rêves les plus fous.»
C'est l'un des "5 solides de Platon" qui a été très largement étudié au cours de l'histoire par Aristote, Léonard de Vinci ... comme un symbole de la perfection.
Platon a associé le dodécaèdre au "Tout", car ce solide représentait à lui seul toutes les formes (tétraèdre, hexaèdre, octaèdre, icosaèdre). Partant de ce postulat Aristote appela le dodécaèdre "Ether" car ce cinquième élément représentait à lui seul toutes les formes l'univers, donc celle de la perfection absolue.
Elle améliore la perception en faisant prendre conscience ce qui apporte la clarté de l'esprit.
Le dodécaèdre convient aux personnes qui désirent une harmonisation totale ou effectuant un travail de méditation et de relaxation.
Placé dans une maison, il favorise une ambiance harmonieuse et protectrice.
La géométrie sacrée est le langage universel de la création. Elle est la structure énergétique générant et manifestant la matière. Construit sur le nombre d’or (divine proportion), le dodécaèdre est une des formes les plus riches d’enseignements mathématiques, cosmogoniques et métaphysiques. Il est un symbole cosmique relié à l’élément de l’énergie universelle appelé aussi éther. Cette forme géométrique parfaite émet des vibrations, qui par résonance rectifient les structures moléculaires et énergétiques.
un outil particulièrement adapté à toute forme d'action visant à dynamiser votre évolution spirituelle." Il donnerai de l'ampleur à toutes nos actions méditatives, décisionnels et évolutionnels.
1. Contribue à une meilleure méditation.
2. Équilibre les chakras.
3. Aide à surmonter et vaincre le stress.
4. Harmonise les rapports entre les individus et crée une atmosphère cordiale et propice aux échanges et à la communication.
5. Apporte une grande énergie en soi pour mieux nous connecter avec notre âme.
6. Équilibre les énergies et harmonise l’ambiance d’une pièce.
7. Augmenter notre pouvoir de divination.
8. Favorise une meilleure intuition.
9. Entre en contact plus facilement avec vos anges gardiens ou nos esprits guides.
10. neutralise une partie des effets négatifs des pollutions électromagnétiques
11.aide à harmoniser les ondes électromagnétiques et les ondes subtiles
Le dodécaèdre est formé selon le principe solide de Platon, il est doté de douze faces en forme d’étoiles qui rappellent les douze signes astrologiques et les douze mois de l’année. La forme pentagonale, quant à elle, est celle dans laquelle s’inscrit l’étoile de l’homme de Léonard de Vinci, la représentation la plus simple de la vie.
Voici un extrait tiré du livre « Les fabuleux pouvoirs du Dodécaèdre » édition Trajectoire: «Le Dodécaèdre demeure le plus puissant émetteur d’ondes de forme qui n’ait jamais vu le jour …autrefois évoqué par Platon comme une clé initiatique majeure. Il fut utilisé par l’immense Léonard De Vinci, qui le jugea si digne d’intérêt qu’il créa un dodécaèdre ouvert dont le modèle est parvenu jusqu’à nous. Le Dodécaèdre est un décontaminateur qui, de plus, se recharge lui-même. Émetteur, il fait des merveilles dans le domaine des arts magiques où il permet, sans faire appel à d’autres forces que vos propres énergies qu’il multiplie à l’infini, d’obtenir des résultats que vous n’auriez pu espérer dans vos rêves les plus fous.»
Qu'est-ce qui se dit du dodécaèdre dans nos musées?
Musée de Louvre
Au premier étage du Musée de Louvre, collection — Antiquités grecques, étrusques et romaines, salles des Bronzes n°32 —, se trouve une bien grande vitrine murale nommée M7. Provinces de l’Empire romain, emplie des dieux : Vulcain, Fortuna, Mercure, Harpocrate, Mars, Jupiter… , et aussi un redoutable lutteur, un taureau, un belliqueux sanglier, un orgueilleux coq… Dans l’angle gauche, deux dodécaèdres gisent aux pieds d’un Éros endormi, et semblent attendre patiemment son réveil. Sans qu’il y est aucune relation avec ce dieu grec, Hésiode (Théog., 116-122) nous dit en passant : « Donc, avant tout, fut Chaos, puis Gaïa (la Terre) aux larges flancs, assise sûre à jamais offerte à tous les vivants (…), et Éros, le plus beau parmi les dieux immortels, celui qui rompt les membres et qui, dans la poitrine de tout dieu comme de tout homme, dompte le cœur et le sage vouloir. » Au-delà de la théogonie et de l’anthropogonie, Éros (qui deviendra le Cupidon romain) est une des forces primordiales constitutives du cosmos originel et dans la mise en ordre du monde. Ses pouvoirs s’étendent non seulement aux êtres, mais aussi à tout ce qui est. Il mélange les éléments, assemble, réunit, unit les gens et les genres les uns aux autres. Dans la comédie d’Aristophane, Les oiseaux, Éros naquit avec deux ailes d'or de l'œuf sans germe. Il s'envola et engendra avec Chaos, avant même la naissance des immortels et l’apparition des hommes, la race des oiseaux. Mais cela est une autre histoire. L'étiquette des dodécaèdres nous dit ceci : Dodécaèdres bouletés Epoque romaine Le dodécaèdre, volume géométrique formé de douze faces pentagonales, remplissait probablement une fonction cultuelle, liée à la symbolique des nombres. Plusieurs exemplaires en bronze ont été retrouvés au nord des Alpes, en territoire celtique. Collection Durand, 1825 ------------ Br 1601. Br 1602 |
Musée Saint-Germain
Au Musée Saint-Germain, à droite en entrant au deuxième niveau — Gaule romaine —, se trouve une petite famille de dodécaèdres bouletés. Celui qui est marqué n° 11 proviendrait de Reims ? (Marne), les 12 et 13 sont de provenances inconnues.
Comme pas à leurs places, ils se blottissent dans un angle d’une petite vitrine d’exposition nommée Magie, parmi les amulettes, tablettes zodiacales, tablettes de défixion, clou magique, amulette phallique, porte-amulette, collier avec clochette, phylactère…
Prudente, l'étiquette déclare :
Il est possible que les dodécaèdres (11-13), solides limités par douze pentagones, en général en bronze, aient été utilisés pour des pratiques astrologiques ; un exemplaire en argent, mis au jour en Suisse, porte en effet sur chaque face le nom d’un signe du Zodiaque. Mais ils ont aussi été considérés comme des éléments de jeu, des bougeoirs, des instruments de calibrage, de mesure des distances, d’orientation, des calendriers, des objets symboliques relevant de doctrines pythagoriciennes…
Leur usage exact reste inconnu à ce jour.
Quelques notes supplémentaires autour de l'Eros endormi à coté des dodécaèdres dans la vitrine :
L’Éros endormi dans la vitrine est daté du IIème s. après J.-C., découvert en 1951 aux abords d’une villa gallo-romaine d'Epiais-Rhus (Val d’Oise) province romaine de Lyonnaise. Son aile ne fut retrouvée qu’en 1977. " Ce thème d’inspiration hellénistique était particulièrement en vogue à l’époque impériale ", nous dit aussi l'étiquette de la vitrine du Louvre.
Dans la mémoire des hommes et des livres, les noms et histoires des dieux gréco-romains finissent par se fausser, se faufiler, s’entremêler... Éros demeure une entité abstraite de cet amalgame du désir, de l’attirance, de la fusion qui rapprochent et créent les choses et les mondes. Il finit par être confondu avec Cupidon qui devint la personnification même de l’attrait amoureux le plus vif.
L’écrivain et philosophe nord-africain Lucius Apuleius ou Apulée (v. 125-180 ap. J.-C.), dans ses Métamorphoses, livre III-VI, nous conte ainsi l’histoire d'amour du dieu ailé épris de Psyché, rivale de Vénus et la plus belle des trois filles d’un roi, et qui était destinée au plus laid et méprisable des hommes.
Image romantique et éternelle des amants comblés, possédés et unis par une même passion, son récit témoigne de la persévérance dont font preuve, et dans les épreuves de la vie, deux êtres qui s’aiment.
Apulée mena une vie agitée et aventureuse. Il se rendit à Rome pour suivre le barreau, après avoir appris le latin sans maître, et comme il avoua lui-même, avec un effort très pénible. Ses voyages le menèrent à la rencontre des nombreux cultes dont ceux à Mystères, aussi appelés cultes initiatiques ou orientaux (Mithra, Isis et Osiris, Éleusis, Cabires à Samothrace… ), mais qui en échange, et à défaut d’entrer dans l’essence des choses, ou « secret des dieux », épuisa ses ressources et le réduisit à vendre ses habits.
Accusé d’avoir séduit sa femme, une riche veuve, par des conjurations magiques, un retentissant procès intenté par sa belle-famille, Apulée, assura lui-même sa défense et composa, dit-on en cinq jours, l’Apologia - Oriatio de magia (Discours sur la magie).
Son procès, son initiation aux mystères de la Grèce, sa passion pour le merveilleux et le fantastique, lui avaient valu une réputation d’adepte de la magie, voire comme un thaumaturge presque égale à celle d’Apollonius de Tyane. On lui prêtait, comme à celui-ci, des miracles qu’on opposait à ceux du christianisme. Il était d’ailleurs adversaire déclaré de la religion nouvelle.
(Source principale : Histoire de la littérature romaine, F. Deltour, Librairie Ch. Delagrave, 1898, 816 pages, 766-9).
Au Musée Saint-Germain, à droite en entrant au deuxième niveau — Gaule romaine —, se trouve une petite famille de dodécaèdres bouletés. Celui qui est marqué n° 11 proviendrait de Reims ? (Marne), les 12 et 13 sont de provenances inconnues.
Comme pas à leurs places, ils se blottissent dans un angle d’une petite vitrine d’exposition nommée Magie, parmi les amulettes, tablettes zodiacales, tablettes de défixion, clou magique, amulette phallique, porte-amulette, collier avec clochette, phylactère…
Prudente, l'étiquette déclare :
Il est possible que les dodécaèdres (11-13), solides limités par douze pentagones, en général en bronze, aient été utilisés pour des pratiques astrologiques ; un exemplaire en argent, mis au jour en Suisse, porte en effet sur chaque face le nom d’un signe du Zodiaque. Mais ils ont aussi été considérés comme des éléments de jeu, des bougeoirs, des instruments de calibrage, de mesure des distances, d’orientation, des calendriers, des objets symboliques relevant de doctrines pythagoriciennes…
Leur usage exact reste inconnu à ce jour.
Quelques notes supplémentaires autour de l'Eros endormi à coté des dodécaèdres dans la vitrine :
L’Éros endormi dans la vitrine est daté du IIème s. après J.-C., découvert en 1951 aux abords d’une villa gallo-romaine d'Epiais-Rhus (Val d’Oise) province romaine de Lyonnaise. Son aile ne fut retrouvée qu’en 1977. " Ce thème d’inspiration hellénistique était particulièrement en vogue à l’époque impériale ", nous dit aussi l'étiquette de la vitrine du Louvre.
Dans la mémoire des hommes et des livres, les noms et histoires des dieux gréco-romains finissent par se fausser, se faufiler, s’entremêler... Éros demeure une entité abstraite de cet amalgame du désir, de l’attirance, de la fusion qui rapprochent et créent les choses et les mondes. Il finit par être confondu avec Cupidon qui devint la personnification même de l’attrait amoureux le plus vif.
L’écrivain et philosophe nord-africain Lucius Apuleius ou Apulée (v. 125-180 ap. J.-C.), dans ses Métamorphoses, livre III-VI, nous conte ainsi l’histoire d'amour du dieu ailé épris de Psyché, rivale de Vénus et la plus belle des trois filles d’un roi, et qui était destinée au plus laid et méprisable des hommes.
Image romantique et éternelle des amants comblés, possédés et unis par une même passion, son récit témoigne de la persévérance dont font preuve, et dans les épreuves de la vie, deux êtres qui s’aiment.
Apulée mena une vie agitée et aventureuse. Il se rendit à Rome pour suivre le barreau, après avoir appris le latin sans maître, et comme il avoua lui-même, avec un effort très pénible. Ses voyages le menèrent à la rencontre des nombreux cultes dont ceux à Mystères, aussi appelés cultes initiatiques ou orientaux (Mithra, Isis et Osiris, Éleusis, Cabires à Samothrace… ), mais qui en échange, et à défaut d’entrer dans l’essence des choses, ou « secret des dieux », épuisa ses ressources et le réduisit à vendre ses habits.
Accusé d’avoir séduit sa femme, une riche veuve, par des conjurations magiques, un retentissant procès intenté par sa belle-famille, Apulée, assura lui-même sa défense et composa, dit-on en cinq jours, l’Apologia - Oriatio de magia (Discours sur la magie).
Son procès, son initiation aux mystères de la Grèce, sa passion pour le merveilleux et le fantastique, lui avaient valu une réputation d’adepte de la magie, voire comme un thaumaturge presque égale à celle d’Apollonius de Tyane. On lui prêtait, comme à celui-ci, des miracles qu’on opposait à ceux du christianisme. Il était d’ailleurs adversaire déclaré de la religion nouvelle.
(Source principale : Histoire de la littérature romaine, F. Deltour, Librairie Ch. Delagrave, 1898, 816 pages, 766-9).
Leonardo da Vinci fit aussi des études du dodécaèdre pour la "De divina proportione" de Fra' Luca Pacioli, traitant du nombre d'or, et qu'on retrouve sur la peinture attribuée à Jacopo de' Barbari (1495), Museo di Capodimonte, Napoli |
Le musée de Cluny présente quelques dodécaèdres lors d'une exposition temporaire "art du jeu, jeu dans l'art"
Une vitrine, intitulée : « Des pratiques divinatoires », réunit exceptionnellement divers dés polyèdres et dodécaèdres de la période romaine, ainsi que l'énigmatique modèle en bronze provenant de Reims (Musée archéologique national de St-Germain-en-Laye )
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